Louis, 20 ans, blogueur, assigné en justice par un élu (presque) UMP !
C'est Nicolas J qui a révélé l'information ce matin dans son billet matinal (le bien nommé).
Louis, blogueur-étudiant de 20 ans résidant à Loudéac et candidat sur la liste socialiste à la mairie, vient d'être assigné en justice par le maire (presque) UMP de la dite ville.
Au delà de l'affaire en elle-même, qui réclame que l'on sache à quel titre le maire à porté plainte et pour quel motif, on remarque que c'est un nouveau blog politique qui est attaqué, et, encore une fois, c'est un élu de droite qui attaque un blog de gauche.
Si vous ajoutez à ça la volonté affichée du gouvernement d'instaurer un flicage d'Internet, que ce soit par l'intermédiaire de sociétés privées (grace à la loi HADOPI) ou grâce à l'aide contrainte des fournisseurs d'accès (soit disant pour lutter contre la cybercriminalité et le terrorisme), on voit ou se dirige ce qui nous sert de moyen de communication. A court terme, nous pourrions tout simplement être privés de notre liberté d'expression.
Les blogueurs de droite devraient eux aussi se joindre à ce buzz car, qu'ils le veuillent ou non, c'est aussi de leur liberté dont il est question. Même si les élus de gauche n'ont pas, pour l'instant, lancé d'offensive contre leurs opposants virtuels, personne n'est à l'abri face à un abus de procédure.
Alors, si vous avez un blog, laissez tomber votre billet du jour, et inquiétez vous.
Louis, blogueur-étudiant de 20 ans résidant à Loudéac et candidat sur la liste socialiste à la mairie, vient d'être assigné en justice par le maire (presque) UMP de la dite ville.
Au delà de l'affaire en elle-même, qui réclame que l'on sache à quel titre le maire à porté plainte et pour quel motif, on remarque que c'est un nouveau blog politique qui est attaqué, et, encore une fois, c'est un élu de droite qui attaque un blog de gauche.
Si vous ajoutez à ça la volonté affichée du gouvernement d'instaurer un flicage d'Internet, que ce soit par l'intermédiaire de sociétés privées (grace à la loi HADOPI) ou grâce à l'aide contrainte des fournisseurs d'accès (soit disant pour lutter contre la cybercriminalité et le terrorisme), on voit ou se dirige ce qui nous sert de moyen de communication. A court terme, nous pourrions tout simplement être privés de notre liberté d'expression.
Les blogueurs de droite devraient eux aussi se joindre à ce buzz car, qu'ils le veuillent ou non, c'est aussi de leur liberté dont il est question. Même si les élus de gauche n'ont pas, pour l'instant, lancé d'offensive contre leurs opposants virtuels, personne n'est à l'abri face à un abus de procédure.
Alors, si vous avez un blog, laissez tomber votre billet du jour, et inquiétez vous.